Quelle expérience, quelle aventure surnaturelle !

Quelle expérience, quelle aventure surnaturelle !

 

Vous ne croyez pas aux sorcières, aux mythes, à d’autres réalités que ce monde de matière et pour vous une sorcière c’est qu’une vilaine femme ?

 

Alors, cette page n’est pas pour vous, merci quand même de votre visite. 

Mais pour les autres, bonne lecture, 

 

Tout à son évolution son involution,

 

La sorcière, une figure emblématique imprégnée de mystère, de sagesse ancestrale et de pouvoir occulte. Depuis les temps anciens, les sorcières ont captivé l'imagination des gens et ont été représentées de différentes manières, que ce soit comme des guérisseuses, des devineresses ou des praticiennes de la magie.

 

Le mot "sorcière" a souvent été associé à la peur et à la méfiance, en grande partie en raison des croyances populaires et des stéréotypes véhiculés par la société. Pendant des siècles, les femmes considérées comme différentes, indépendantes d'esprit ou dotées d'une connaissance supérieure ont été accusées de sorcellerie et persécutées.

 

Cependant, la sorcellerie n'est pas nécessairement liée à des pratiques maléfiques. Pour certaines personnes, être une sorcière est un chemin spirituel, une voie de connexion profonde avec la nature, les énergies cosmiques et le soi intérieur. La sorcière moderne embrasse souvent des traditions anciennes et des pratiques telles que la magie, la méditation, la divination et l'utilisation des herbes et des cristaux pour la guérison comme je le pratique.

 

La sorcellerie est également souvent associée à la célébration des cycles naturels et des saisons, avec des rituels et des cérémonies pour honorer la Terre et manifester des intentions positives. Les sorcières peuvent travailler avec des éléments tels que le feu, l'eau, l'air et la terre, et utilisent leur connexion avec ces forces pour apporter équilibre, guérison et transformation dans leur vie et dans celle des autres.

Il est essentiel de noter que les pratiques sorcières varient d'une personne à l'autre. Chaque sorcière peut choisir sa propre voie, ses propres rituels et ses propres outils en fonction de sa propre compréhension et de sa connexion personnelle avec le divin. Il n'y a pas de formule unique pour être une sorcière, car c'est une voie personnelle et intuitive.

De nos jours, de plus en plus de personnes s'intéressent à la sorcellerie et à ses enseignements, cherchant à retrouver un lien profond avec la nature, leur spiritualité et leur pouvoir intérieur.

La sorcellerie moderne est souvent perçue comme une pratique positive et bienveillante, axée sur l'autonomie, l'autodétermination et la recherche de l'harmonie dans tous les aspects de la vie.

Que l'on soit attiré par la sorcellerie en tant que pratique spirituelle, moyen de guérison ou simple source d'inspiration, il est important de respecter les traditions, de cultiver une compréhension profonde et d'exercer ces pratiques avec responsabilité et bienveillance envers soi-même et les autres.

 

Etre une sorcière est bien plus qu'une étiquette ou un titre. C'est un voyage personnel de découverte, de croissance spirituelle et de connexion avec les énergies qui nous entourent. C'est embrasser la magie et le pouvoir de notre propre être pour manifester une vie plus épanouissante et alignée sur notre véritable essence.

 

Qui peut le mal peut le bien 

C’est très explicite, d’ailleurs je conseille à tout le monde de mettre cette phrase dans sa vie, car du mal cela ne manque jamais et voir le bien pour beaucoup cela ressemble à une prière. 

 

Nous avons tous notre histoire personnelle et intime un peu comme une couleur, un parfum, une note, qui fait le penchant à ceci ou à cela. 

 

Mes compétences, elles sont à votre disposition sur ce site en tant que conseillère spirituelle, animatrice d’atelier, voyante, thérapeute et professeur de yoga et méditation,

 

Et pour toutes questions vous pouvez envoyer quelques mots sur la messagerie 

 

 


DAKINI dans le Bouddhisme

Messagère céleste, cette émanation des Bouddhas, gardienne des enseignements secrets et grande inspiratrice du yogin, symbolise l’énergie féminine – parfois destructrice, mais le plus souvent créatrice – liée à la connaissance transcendante, à la réceptivité, à l’ouverture totale, semblable à une danse dans l’espace illimité.

Les Kakinis (en tibétain, Kahandro) accompagnent fréquemment les déités représentées dans l’iconographie du Véhicule de Diamant. Il s’agit là d’anciennes fées ou sorcières, d’origine chamanique, intégrées ensuite par le bouddhisme tibétain, la langue des Dakinis désigne le sens intime des termes utilisés dans les textes tantriques.

Le yogin qui accomplit la cosmosation de son corps doit aussi vivre la destruction du langage, indispensable à son entrainement spirituel ; elle brise l’Univers profane et le remplace par un univers à niveaux convertibles et intégrables.

 

Ce n’est pas seulement pour cacher aux non-initiés le Grand Secret qu’il est invité à comprendre bodhicitta, à la fois comme pensée d’Eveil et semen virile, le yogin doit pénétrer, par le langage même, par la création d’un langage nouveau et paradoxal, à ce niveau où la semence peut être transmuée en pensée et inversement. 

 

Texte du dictionnaire des symboles  


La langue de Kali

 

 

 Parvati, la puissance de procréation et de destruction

Comme Shiva lui-même, sa puissance est envisagée sous trois aspects principaux : un aspect créatif, immanent, actif, appelé énergie (Shakti), un aspect spatial, permanent, paisible, immanent appelé Parvati, la fille de la montagne, c’est-à-dire l’éther personnifié, un aspect temps destructif, immanent, qui est appelé la Puissance du temps (Kâlî).         

Du seigneur du sommeil, du phallus saisi par la vulve qui est son énergie, jaillit la semence du l’univers spatial. Lorsqu’il est conçu comme une entité personnifiée, le seigneur du sommeil apparaît lui-même inactif alors que son énergie semble vivante. 

Envisagée comme l’instrument du pouvoir procréateur de Shiva, cette énergie est appelée la puissance de jouir. 

Elle apparaît alors comme l’exact opposé de la puissance du temps, Kali, le pouvoir de destruction. 

Lorsque l’énergie, qui est aussi la puissance de penser (vimarsha) s’unit au seigneur du sommeil, cela mène à un état d’agitation de déséquilibre (samanâ) duquel la création naît. 

Lorsqu’elle est séparée de lui, ceci mène à un état de sommeil, d’équilibre (samanâ) dans lequel le monde se dissout.            

 

Lorsque Shakti saisit Shiva, l’Univers en est secoué. Elle est le pouvoir du désir, de la jouissance mais aussi celui de libération car la libération des liens par lesquels la nature nous enchaîne n’est pas possible par des méthodes négatives, mais exige un combat actif. 

Ayant pris la forme de Sati, la Fidélité, la bien aimée de Shiva se jeta dans le feu afin que le sacrifice cosmique s’accomplisse. On la représente alors comme la fille d’Art rituel (Daksha), comme le don offert durant le sacrifice (Dakshinâ). Parvati est une aimable déesse, fille de la montagne polaire (l’axe du monde de laquelle jaillit l’énergie terrestre).             

La montagne (parvata) ou le mont neigeux (Himavant) est le symbole de l’éther.             

Les sommets des montagnes sont considérés comme les points par lesquels l’énergie terrestre s’écoule dans l’éther. C’est pourquoi personne ne doit habiter au sommet d’une montagne et l’on n’y peut construire que des temples.     

La mère de Pâvatî est Menakâ qui représente l’intellect (Buddhi). Née de l’éther et de l’intellect, Parvati est la substance consciente de l’univers. 

Parvati est aussi la reine des lutins et des esprits qui errent sur la terre.

Elle est le capitaine des compagnons de Shiva, appelés les Catégories (gavas).           

C’est sous son aspect terrible, en tant que puissance du temps, que pouvoir de désintégration tout proche du pouvoir de libération que l’épouse de Shiva est surtout vénérée. On la montre alors sous une forme effrayante.

 

Le Yoga fourmille de  textes de sagesse dans lesquels le dieu et la déesse, qui représentent nos forces intimes en tant que Conscience et Energie, relèvent le long d’un dialogue les secrets de l’Univers et de l’Etre humain.

Bien que les Shakti aient des noms et des apparences diverses, ceux qui savent les appellent avant tout Sarasvatî, Lakshmî, et Kâlî, ces noms sont des conventions qui personnifient ces énergies pures et leurs contenus, non des personnages extérieurs à l’humain. Elle aussi forment une puissante triade de forces, que l’on représente habituellement par un triangle équilatéral pointant vers le bas.

Kâlî se trouve à la pointe du bas, Lakshmî et Sarasvatî aux autres angles.

 

Kâlî est noire parce qu’elle est la porte s’ouvrant sur la vacuité de l’espace intérieur et extérieur, elle est nue comme l’esprit était nu à sa naissance et retournera un jour à sa nudité, elle a trois yeux qui révèlent son pouvoir absolu sur les trois temps : passé, présent et avenir. Chaque partie du corps de Kâlî est une signification et la langue tirée révèle sa nature sensuelle et dévastatrice.